




Un guide plutôt bien fait.   Il manque des petites choses et certains botanistes / phytosociologues seront frustrés mais pour les non spécialistes c’est très bien.






 

La Crassula helmsii, au fort pouvoir de bouturage à été repéré en Deux-Sèvres.
Le conservatoire Botanique National Sud Atlantique à édité ce document d'alerte sur une plante exotique envahissante encore mal connue.
5 livrets de vulgarisation de projets de recherche réalisés dans le cadre de l'actuel plan Loire grandeur nature ont été publiés en 2013.



Une exposition itinérante « Espèces Exotiques Envahissantes » sur 11 panneaux a été élaborée par le groupe de travail sur les plantes aquatiques exotiques envahissantes du bassin Loire-Bretagne. 
La FREDON Limousin et le CPIE des Pays Creusois ont édité des affiches permettant de reconnaitre quelques espèces cibles.






À l’heure où la reconquête et la préservation du bon état des milieux  aquatiques s’imposent comme des enjeux écologiques et sociétaux  essentiels, la question des écrevisses invasives constitue une  préoccupation majeure pour de nombreux gestionnaires et acteurs de  l’eau.  Cet ouvrage présente les résultats des premières "Rencontres nationales  sur les Ecrevisses exotiques invasives" organisées en juin 2013 par  l’Inra, le Parc naturel régional de Brière, le Forum des marais  atlantiques, l’Onema et le CNRS.


Descriptif de l’outil : plaquette de communication sur le ragondin

Descriptif de l’outil. : exposition composée de 6 panneaux déroulants (0,85x 2 m) : diversité des milieux ligériens et des espèces de mammifères d’eau douce qui les habitent (Castor, Loutre, Campagnol amphibie, espèces envahissantes



Cette vidéo porte sur la sécurisation du tronçon le plus dangereux pour  les animaux de la 2x2 voies RD 137 entre Rochefort et La Rochelle par du  grillage à maille petite faune sur deux fois 4 km, avec canalisation de  la faune vers deux passages à aménager.


Avec l’adoption de la directive cadre sur l’eau (DCE) en  2000, les bioindicateurs ont été institués comme les véritables « juges  de paix » de l’état écologique des masses d’eau : leur développement et  leur mise en compatibilité avec le texte de la DCE a induit une  mobilisation sans précédent de la communauté scientifique en  hydrobiologie.  Alors que les outils et règles d’évaluation actuels de l’état des eaux  s’appliquent pour le 1er cycle de gestion de la DCE (2010-2015), l’année  2011 a vu l’aboutissement de nombreux travaux de recherche visant à  améliorer les outils existants et à les rendre pleinement  DCE-compatibles en vue du 2e cycle de gestion (2016- 2021). 






    